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nous, c'etait lors de notre voyage a l'ile maurice, nous sommes restés bloqués deux jours dans un hotel en alerte rouge avec le cyclone gamède
Galère... euh, je refléchis...., non pas de galères, quelques ennuis intestinaux, parfois, quelques retards...souvent, quelques pannes....de temps en temps....mais pas de grosses galères.
2 jours sur le toit d'un train au Soudan, mais c'était en 1987 j'étais plus jeune...
Salut globe trotter,
Tu veux dire qu'au lieu d'être tranquillement assis à l'intérieur du train, tu as passé 48 h sur le toit ? En quelles circonstances ? Il n'y avait plus de places à l'intérieur ou c'est par choix que tu as pris l'air ?
En Inde après un Ouragan dans l'Orissa, nous nous baignons à Mamalapuram vers Pondichery quand mon collègue Régis c'est fait piqué par une méduse mortelle.
Au début nous pensions que ce n'était qu'un méduse commune mais mon collègue à commencer a suffoquer rapidement et à être paralysé . Après les remèdes locaux style huile de noix de coco et après un passage au dispensaire sans succés on nous a dis : Hospital quick !!!! Nous avons du prendre un taxi ambassador qui roule a 60 kilometre heure pour se rendre à l'hopital le plus proche a 40 kilometres, la route était interminable, Regis agonisant sur le siège arrière ... Une fois dans cet établissement imposant, lugubre et neuf mon collègue a pu se faire soignée et le lendemain nous repartions vers de nouvelles aventures loin des méduses ...
Vous avez eu drolement avoir la trouille. Ton copain se baigne sans réticences de nos jours?
C'est sur que lors des étapes suivantes, on ne s'est pas baigné jusqu'au Maldives mais bon dans un paradis comme les Maldives on ne pouvait pas ne pas se baigner .
Je pense pas que ça nous ait traumatisé, ce fut une partie "aventure" de notre périple .
Puis lors ce cet Ouragan ou il y avait eu 10000 morts dans l'Orissa en 1999 on avait déja eu beaucoup de chance car l'on devait prendre le train de Calcutta a Madras mais vu qu'il était complet nous avons pris l'avion, je pense que ça nous a sauvé la vie vue que l'ouragan a tout dévasté lorsque nous aurions du être dans le train .
Déja dans l'avion je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie vue les perturabtions et les trous d'air que nous avions vécu en traversant l'ouragan.
Je n'ai appris le désastre qu'une semaine après et ce de France, par ma mère .
La méduse avait du être ramené du large par des forts courants mais nous ne savions même pas ce jour là qu'il y avait eu un ouragan la veille un peu plus au Nord ...
Une autre galère : Au Mexique, nous sommes restés bloqués 24 heure après 8 heures de trajet sur une route un 30 décembre car un village rebelle du Chiappas avait décidé de manifester ainsi, en bloquant l'unique route .
Nous avions même envisager de faire le réveillon sur cette route heureusement le blocus s'est achevé à temps et nous avions pu rejoindre Palenque .
Dans notre malheur nous avions eu la chance d'être bloqué dans une station essence avec restaurant et toilettes contrairement au millier de vehicules bloqués au milieu de nulle part ...
Eh, bien il y en a qui n'ont pas de bol. Fort heureusement, celà ne vous empêche pas de continuer à voyager.
Pour moi,cela a ete l'oubli d'aiguilles qui s'adaptent sur des stylos d'insuline ( je suis diabétique) J'en ai retrouvé en Afrrique pays de ma destination, mais elles étaient énormes ( au moins 3 fois plus grosses que celles que j'utilisais normalement. Je vous explique pas les séances de piqures!!!!!!!!! et la douleur que cela m'a occuré durant le séjour. Mais quand on a pas de tete il faut savoir aassumer et souffrir
Moi je ne sais pas vraiement ce qu'il m'est arrivée mais j'ai passé 48h au fond de mon lit aux seychelles avec fièvre et impossible de bouger, je ne tenais plus sur mes jambes avec une impression d'être grogui( en plus pas de téléphone dans mon bungalow )c'est après que j'ai flippé et que j'ai conclu qu'il me fallait avoir une possibilité de contact même quand je voyage accompagnée.
Sonauli -frontière indo népalaise - Novembre 90 -
Lorsque nous arrivons à la frontière, il fait déjà nuit. Le bus qui nous montait de Bénarés ayant pris son temps (Avez-vous remarqué comme la notion du temps peut être fluctuante, suivant l'endroit où l'on se trouve sur terre ?). La plupart de nos compagnons de voyage, autochtones pour une grande majorité, se précipitent dans les bureaux de la douane avant que nous n'ayons pu réaliser que nous étions à la frontière et qu'il fallait impérativement descendre du bus pour la passer. Nous sommes les derniers à pénétrer, chacun dans un bureau, pour vérification de nos visas. Pour ma femme, pas de problème de son coté. Pour moi, c'est autre chose. Le douanier se montre méfiant et me demande de justifier une mauvaise impression du cachet d'entrée sur le territoire indien. Mon anglais étant ce qu'il est,ma femme s'impatiente et vient à mon secours.
Le douanier, trouvant peut-être ma femme plus agréable que moi-même, me dit aussitôt : " vous pouvez partir mais on garde votre femme ". Détail qui a son importance, eueueuh, comment dire ? disons que ces messieurs avaient les yeux bien rouges et bien brillants et qu'il devaient y avoir quelque chose d'autre que du tabac dans leurs cigarettes! J'ai donc dû faire preuve de la plus grande "diplomatie" avec un zeste de fermeté pour leur signifier qu'il était hors de question que je leur abandonne ma douce moitié. Sur le coup, nous sommes restés très zen ma femme et moi. Ce n'est que bien plus tard, en y repensant qu'on s'est dit que la galère aurait pu être bien plus grande !
D'ou le bien fondé d'avoir un Harem! (je rigole bien entendu)
finalement, nous ne sommes pas si malchanceux que ça, ce qui est "bien" c'est que cela rends nos voyages uniques
C'est sur que lorsqu'il n'y à rien de grave au final c'est un souvenir qui restera à jamais graver dans nos mémoires et qui, après coup donne un côté aventure au voyage ...
Par contre mille et une pensée Karma à tous les sinistrés et victimes des catastrophes naturelles passées, actuelles et futures, malheureusement...
De toutes les galères actuellement présentée, celle qui m'aurais mis le plus dans l'angoisse est sans doute celle des aiguilles oubliées pour les piqures d'insuline de Fabrice. Sans doute pas si facile que ça à trouver en Afrique.
Moi je n'aurais pas aimé être à la place de mme Loularsen...j'ai une amie qui a vécu en Inde et qui devait rester cloitrée chez elle tant les hommes se comportaient bizarrement avec les européennes (au sud de l'Inde).
Wow vous en avez eut des galères c'est clair !
Moi jusqu'ici rien de gênant si je me souviens bien !
Ma plus grosse galère quand en Grèce on a installé la tente sur un nid de fourmis rouges .C'est qu'au petit matin ,quand la tente etait recouverte de ses petites bêtes et qu'elles avaient attaqué la toile qu'on s'en ait rendu compte.
Dommage que vous n'ayez pas attendu encore un peu cela airait été un souvenir " cuisant" hihi
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